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Mars bleu : Un trajet de diagnostic rapide du cancer colorectal au sein de l’H.U.B
Un dépistage essentiel : chaque année, plus de 8.000 Belges, hommes ou femmes, se voient diagnostiquer un cancer colorectal. Les équipes du service de Gastroentérologie et d’Oncologie Digestive de l’Hôpital Erasme et de l’Institut Jules Bordet proposent depuis plus d’un an un nouveau trajet de diagnostic rapide du cancer colorectal réservé aux patients qui ont des signaux d’alertes, un test positif à la recherche de sang dans les selles ou considérés à haut risque. Par ailleurs, à l’occasion du mois du cancer du colorectal, un côlon géant sera installé dans le hall de l’Hôpital Erasme et de l’Institut Jules Bordet les 26 et 27 mars prochains. Des professionnels de nos institutions vous accompagneront à la découverte de cet organe et vous sensibiliseront à l’importance du dépistage du cancer colorectal.Un dépistage essentielChaque année, plus de 8.000 Belges, hommes ou femmes, se voient diagnostiquer un cancer colorectal. Dans 90 % des cas, ils ont plus de 50 ans. Un tiers de ces personnes en décèderont souvent parce qu’il aura été détecté trop tard. S’il est pris en charge à temps, le cancer colorectal se guérit dans 90 % des cas. Face à ces chiffres rassurants de guérison, nos professionnels ont décidé de mettre en place un trajet de diagnostic rapide de prise en charge des patients présentant un signal d’alerte, ou un niveau de risque élevé. Le dépistage par coloscopie est essentiel car il permet d’identifier un cancer colorectal le plus tôt possible et réduit ainsi la mortalité de celui-ci de 50 %. Au-delà du diagnostic, l’intérêt de cet examen est aussi thérapeutique car il permet de dépister le cancer à un stade précoce ou de prévenir son apparition en enlevant les polypes colorectaux ainsi que les cancers débutants éventuels.Qui est concerné par le dépistage ?Dans la population générale, le risque devient significatif à partir de 50 ans. A partir de cet âge, il est facile de faire le test de dépistage par recherche de sang dans les selles. Ce test est proposé par votre Région via une invitation personnalisée tous les deux ans (Bruxelles : www.Bruprev.be; Wallonie : www.ccref.org; Flandres : https://www.cvko.vlaanderen/) Si vous êtes considéré comme une personne à risque (une mutation héréditaire comme la polypose adénomateuse familiale ou le syndrome de Lynch, des antécédents personnels ou familiaux de polypes et/ou de cancer colorectal, une maladie inflammatoire du tube digestif - maladie de Crohn ou rectocolite) ou si vous présentez des signaux d’alerte comme la présence de sang dans les selles, une modification inexpliquée et durable du rythme des selles, des douleurs abdominales ou une perte de poids inexpliquée, vous pouvez prendre un rendez-vous avec nos professionnels qui vous programmeront rapidement une coloscopie.Consultation de gastroentérologie :Institut Jules Bordet +32 (0)2 541 34 80Erasme +32 (0)2 555 35 04Consultation de dépistage Institut Jules Bordet (si pas de symptôme) : +32 (0)2 541 30 00Un colon géant pour sensibiliser le grand publicLe mois de mars est le mois de sensibilisation aux cancers colorectaux. A cette occasion, l’Hôpital Erasme et l’Institut Jules Bordet accueilleront le colon géant. Accompagné de professionnels de santé, vous pourrez pénétrer à l’intérieur de la structure pour découvrir comment se présente cet organe, en 3D, et mieux comprendre pourquoi et comment vous protéger contre le cancer colorectal, l’un des plus mortels en Belgique. Rendez-vous le mercredi 26 mars à l’Hôpital Erasme de 9h à 16h et le jeudi 27 mars à l’Institut Jules Bordet de 9h à 16h.
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MARS BLEU : Un trajet de diagnostic rapide du cancer colorectal au sein de l’H.U.B
Les équipes du service de Gastroentérologie et d’Oncologie Digestive de l’Hôpital Erasme et de l’Institut Jules Bordet proposent un trajet de diagnostic rapide du cancer colorectal Les équipes du service de Gastroentérologie et d’Oncologie Digestive de l’Hôpital Erasme et de l’Institut Jules Bordet proposent un trajet de diagnostic rapide du cancer colorectal réservé aux patients avec des signaux d’alertes, un test positif à la recherche de sang dans les selles, ainsi qu’aux patients à haut risque. Les 20 et 21 mars prochains, un côlon géant sera installé dans le hall de l’Hôpital Erasme et de l’Institut Jules Bordet. Des professionnels de nos institutions vous accompagneront à la découverte de cet organe et vous sensibiliseront à l’importance du dépistage du cancer colorectal.  Un dépistage essentiel Chaque année, plus de 8.000 Belges, hommes ou femmes, se voient diagnostiquer un cancer colorectal. Dans 90 % des cas, ils ont plus de 50 ans. Un tiers de ces personnes décèderont de leur cancer souvent parce qu’il aura été détecté trop tard. Lorsqu’il est pris en charge à temps, le cancer colorectal se guérit dans 90 % des cas. Devant cette problématique, nos professionnels ont décidé de mettre en place un trajet de diagnostic rapide pour prendre en charge les patients présentant un signal d’alerte, ou un niveau de risque élevé. Le dépistage par coloscopie est essentiel car il diminue le risque de développer un cancer colorectal et réduit la mortalité de celui-ci de 50 %. Au-delà du diagnostic, l’intérêt de cet examen est aussi thérapeutique car il permet de dépister le cancer à un stade précoce mais également de prévenir son apparition en enlevant les polypes colorectaux ainsi que les cancers débutants. Qui est concerné par le dépistage ? Dans la population générale, le risque devient significatif à partir de 50 ans.  A partir de cet âge, il est facile de faire le test de dépistage par recherche de sang dans les selles. Ce test est proposé par votre Région via une invitation personnalisée tous les deux ans (Bruxelles : www.Bruprev.be; Wallonie : www.ccref.org; Flandres : https://www.cvko.vlaanderen/) Si vous êtes une personne à risque (une mutation héréditaire comme la polypose adénomateuse familiale ou le syndrome de Lynch, des antécédents personnels ou familiaux de polypes et/ou de cancer colorectal, une maladie inflammatoire du tube digestif  - maladie de Crohn ou rectocolite) ou si  vous présentez des signaux d’alerte comme la présence de sang dans les selles, une modification inexpliquée et durable du rythme des selles, des douleurs abdominales ou une perte de poids inexpliquée, vous pouvez prendre un rendez-vous avec nos professionnels qui vous programmeront rapidement une coloscopie. Consultation de gastroentérologie : • Institut Jules Bordet +32 (0)2 541 34 80 • Erasme +32 (0)2 555 35 04 Consultation de dépistage Institut Jules Bordet (si pas de symptôme) : +32 (0)2 541 30 55 Un colon géant et une mini expo pour sensibiliser Le mois de mars est le mois de sensibilisation aux cancers colorectaux. A cette occasion, l’Hôpital Erasme et l’Institut Jules Bordet accueillent un dispositif de sensibilisation ainsi que le colon géant. Accompagné de professionnels de santé, vous pourrez pénétrer à l’intérieur de la structure pour découvrir comment se présente cet organe, en 3D, et mieux comprendre pourquoi et comment vous protéger contre le cancer colorectal, l’un des plus mortels en Belgique. Rendez-vous le 20 mars à l’Hôpital Erasme de 9h à 16h et le 21 mars à l’Institut Jules Bordet de 9h à 16h.
Problématique de santé
Mastocytose Systémique
Qu'est-ce que la mastocytose systémique? La mastocytose systémique est une maladie rare. La mastocytose est un groupe de maladies qui entraînent une accumulation excessive de mastocytes dans votre corps. Un mastocyte est un type de globule blanc qui aide votre système immunitaire à fonctionner correctement. Lorsque vous souffrez de mastocytose systémique, un excès de mastocytes s’accumule dans la peau, la moelle osseuse, le tube digestif ou d’autres organes du corps. Lorsqu’ils sont activés, ces mastocytes libèrent des substances qui peuvent provoquer des signes et des symptômes similaires à ceux d’une réaction allergique et, parfois, une inflammation grave pouvant entraîner des lésions organiques. Les déclencheurs courants comprennent l’alcool, les aliments épicés, les piqûres d’insectes et certains médicaments.Le syndrome d’activation mastocytaire et la mastocytose systémique se présentent par les mêmes signes et symptômes. Ils se différencient par l’absence de prolifération de mastocytes dans la moelle lors d’un syndrome d’activation mastocytaire. La mastocytose systémique est également caractérisée par la présence d’une mutation dans le gène c-KIT. Généralement, cette mutation n’est pas héréditaire.  Prise en charge Les signes et symptômes de la mastocytose systémique dépendent de la partie du corps affectée par un excès de mastocytes. Trop de mastocytes peuvent s'accumuler dans la peau, le foie, la rate, la moelle osseuse ou les intestins. Plus rarement, d’autres organes tels que le cerveau, le cœur ou les poumons peuvent également être touchés.Les signes et symptômes de la mastocytose systémique peuvent inclure :Rougeurs, démangeaisons.Douleurs abdominales, diarrhées, nausées ou vomissements.Palpitations, malaises.Réactions allergiques allant de l’urticaire jusqu’à l’œdème de Quincke et l’anaphylaxie.Toux, dyspnée, rhinorrhée, larmoiement.Mictions fréquentes, brulures urinaires.Douleurs osseuses et musculaires.Dépression, changements d'humeur ou problèmes de concentration.Anémie ou troubles de la coagulation.Hypertrophie du foie, de la rate ou des ganglions lymphatiques.Les différents déclencheurs de symptômes mastocytaires incluent :Les piqûres d'insectes.Les aliments riches en histamine ou histamino-libérateurs.Les facteurs physiques (changement de température, fièvre).Les interventions chirurgicales, traumatismes.Certains médicaments.Le diagnostic de la mastocytose systémique nécessite une biopsie du ou des organes atteints afin de confirmer le lien entre les symptômes et la maladie. La biopsie recherche la présence d’une accumulation de mastocytes ainsi que la mutation c-KIT. Le dosage de la tryptase est un marqueur sanguin très souvent utile au diagnostic.Une fois le diagnostic posé, il est nécessaire de réaliser certains examens complémentaires (échographie abdominale, ostéodensitométrie, biopsie ostéo-médullaire) afin de déterminer la sévérité de la maladie.Le traitement de la mastocytose repose sur deux versants. Le traitement symptomatique vise à contrôler les symptômes alors que le traitement antiprolifératif vise à contrôler la production excessive et l’accumulation des mastocytes dans les organes. Le traitement de la mastocytose ne requiert pas toujours un traitement antiprolifératif et dépendra du bilan réalisé par la spécialiste.Le traitement symptomatique repose sur l’identification et l’éviction des facteurs déclenchants des symptômes mastocytaires ainsi que sur l’utilisation d’antihistaminiques, d’antiacides et  d’autres « antiallergiques ». Un stylo contenant de l’adrénaline est proposé au patient ayant déjà présenté une réaction anaphylactique sévère. Le traitement antiprolifératif repose sur la chimiothérapie et certaines thérapies ciblées. Dans de rares cas, une greffe allogénique de cellules souches est envisagée. Conseils Si vous êtes suivi pour une mastocytose systémique et que vous présentez une détresse respiratoire ou un malaise (œdème de Quincke ou anaphylaxie), il est nécessaire que vous vous présentiez au urgences ou que vous appeliez le 112. Si vous êtes en possession d’un stylo auto-injectable d’EPIPEN (Adrénaline), réalisez une injection intramusculaire de celui-ci en attendant l’arrivée des secours.  Focus Les patients qui présentent des symptômes suspects de mastocytose seront aiguillés vers la consultation parmi les différents spécialistes. Il est possible que vous soyez orienté initialement en hématologie ou en médecine interne et puis redirigé, selon le bilan, vers l’autre spécialiste.  Nos spécialistes Services associés
Mastocytose Systémique
Problématique de santé
Mastocytoses
Définition et symptômesLes mastocytoses sont un groupe de maladies caractérisées par la prolifération anormale de mastocytes sous l'effet d'une mutation activatrice acquise du gène CKIT (D816V) et leur accumulation dans divers organes : peau (principalement), organes hématopoïétiques (moelle osseuse, foie, rate), tube digestif, os. Elle est aussi caractérisée par l'activation autonome et non régulée des mastocytes mutés, qui entraine leur dégranulation excessive (libération de médiateurs mastocytaires contenus dans les granules du mastocyte).Les symptômes d'activation mastocytaire (SAMA) peuvent concerner tous les organes et incluent : flushs (accès de rougeurs), démangeaisons, chocs anaphylactiques, malaises, troubles digestifs divers (diarrhée, douleurs, intolérances alimentaires), douleurs diverses notamment squelettiques et céphalées, fatigue, troubles du sommeil et de l'humeur, rhinite, essoufflement.La mastocytose est une maladie rare qui compte environ 1 cas sur 150 000 patients par an.TypesLa mastocytose est dite cutanée lorsqu'il n'y a pas d'excès de mastocytes dans les autres organes que la peau. Cette forme prédomine très largement chez l'enfant.Dès la naissance ou les premières semaines de sa vie, l'enfant peut présenter une ou plusieurs lésions cutanées correspondant soit à de l'urticaire pigmentaire soit à des mastocytomes. Ces lésions sont réactives en particulier aux frottements ou à un changement brusque de température, ce qui peut faire apparaitre des bulles et déclencher des symptômes d'activation mastocytaire (diarrhée, malaise, etc). La mastocytose de l'enfant est susceptible de régresser complètement à l'adolescence. La fréquence exacte de ce phénomène de guérison spontanée reste cependant à déterminer (50% des cas ou plus ?). Lorsque la mastocytose est diagnostiquée chez l'adulte, elle est toujours considérée comme systémique, la maladie est chronique, aucun traitement n'est réputé susceptible de la guérir. Cependant les mastocytoses de l'adulte sont le plus souvent indolentes. La forme la plus observée chez les adultes (80% des cas) est la Mastocytose Systémique Indolente (MSI). L'atteinte cutanée est fréquente sous forme d'urticaire pigmentaire ou de télangiectasies (forme TMEP). L'infiltration des organes autres que la peau n'induit ni hypertrophie ni dysfonction de ces derniers. L'essentiel des plaintes résulte du SAMA qui peut parfois générer un handicap fonctionnel significatif (par exemple en cas de chocs anaphylactiques récurrents, de diarrhée impérieuse, de douleurs invalidantes, de flushs répétés avec asthénie postcritique, de troubles cognitifs et de l'humeur). La qualité de vie peut donc chez certains patients être sévèrement altérée, alors que d'autres patients sont asymptomatiques. Dans cette forme, le dépistage de la déminéralisation osseuse (30% des patients) est indispensable pour démarrer si besoin un traitement ostéoformateur et prévenir la survenue de fractures vertébrales. La survie de ces patients n'est pas menacée. La prise en charge ambulatoire est de rythme annuel. Les 20% d'autres malades souffrent d'une forme agressive de mastocytose (MSA principalement, beaucoup plus rarement leucémie ou sarcome à mastocytes) avec ou sans hémopathie clonale non mastocytaire associée (essentiellement myélodysplasie). Leur prise en charge se fait en secteur hospitalier d'hématologie. Leur survie est rapidement menacée du fait du dysfonctionnement d'au moins un des organes infiltrés massivement par les mastocytes : défaillance hépatique, insuffisance médullaire, cachexie par malabsorption digestive, hypersplénisme.  Le SAMA est rare ou absent. Le traitement cytoréducteur doit être instauré en urgence.Comment soigne-t-on les mastocytoses ?Il n'existe pas de traitement curatif des mastocytoses. L'objectif thérapeutique dépend du type de mastocytose.Dans la majorité des cas, il s'agit de formes indolentes de la maladie. L'objectif thérapeutique est d'améliorer la qualité de vie des malades si celle si est détériorée. Le traitement comprendra les mesures d'éviction stricte de tout facteur identifié comme déclenchant la dégranulation mastocytaire (aliment, médicament, piqûre d'hyménoptère, activité sportive trop intense, température trop extrême) et un traitement symptomatique (antihistaminiques). Si après au moins 6 mois de traitement symptomatique optimal (doses maximales) et bien conduit (bonne observance de la prescription), le handicap reste trop invalidant un traitement de fond cytoréducteur pourra être discuté. En cas d'antécédent de choc anaphylactique, le port d'adrénaline auto-injectable doit être constant.S'il s'agit d'une plus rare forme agressive de mastocytose, l'objectif principal est une réduction de l'infiltration mastocytaire qui étouffe les organes. Pour cela les médicaments cytoréducteurs (chimiothérapie de type cladribine, inhibiteurs de tyrosine kinase) sont indispensables et doivent être débutés le plus tôt possible.Information destinée aux patients et à leurs famillesPrésentation du centre français de référence des mastocytoses - Plaquette CEREMASTAssociations de patients Mastocytose
Mastocytoses
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La maternité de l'Hôpital Erasme fait peau neuve !
L'Hôpital Erasme (Hôpital Universitaire de Bruxelles - H.U.B) a inauguré hier sa nouvelle maternité. Toute l’équipe s’est mobilisée pour repenser les soins et l’environnement de séjour des futures mamans, des nouveau-nés, mais aussi des co-parents, dans le souci constant d’offrir une prise en charge et un accompagnement d’excellence. Des chambres individuelles, propices au calme pour les premiers jours avec bébé L’Hôpital Erasme propose désormais 24 chambres, toutes individuelles, pour favoriser l’intimité et le calme dont les mamans et leur bébé ont besoin. Plus de la moitié des chambres a fait l’objet d’une rénovation soignée, conçue pour permettre l’accueil d’une personne accompagnante invitée à participer aux soins du nouveau-né et de sa maman tout au long de leur séjour à la maternité.Toutes les chambres sont désormais situées au même étage et à proximité de l’hospitalisation prénatale pour les grossesses à haut risque (Maternal Intensive Care) et des salles d’accouchement, ce qui facilite le suivi par le personnel soignant. En complément de cette capacité d’accueil et dans le plein respect de la politique de “zéro séparation”, l’Hôpital Erasme va enrichir l’offre de chambres “maman-bébé” au centre néonatal, afin de permettre aux jeunes parents de rester, autant que possible, auprès de leur bébé qui nécessiterait une prise en charge néonatale spécifique.Ce projet de rénovation s’inscrit dans la volonté de l’Hôpital Universitaire de Bruxelles d’associer une infrastructure d’accueil hautement qualitative à une expertise médicale de premier plan. Il a été mené en collaboration avec les équipes du service de Gynécologie-Obstétrique qui se sont impliquées dans le choix des matériaux et des couleurs, mais aussi et surtout dans la réorganisation des soins qui découle du regroupement des 24 chambres sur un seul étage.La nouvelle maternité accueillera les mamans et leur(-s) bébé(-s) à partir du lundi 18 novembre 2024.Découvrez la nouvelle maternité d'Erasme via le reportage vidéo de BX1 Les nouvelles chambres de la maternité de l'Hôpital Erasme