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Anatomie d’une chute : les troubles de l’équilibre après un AVC
À l’occasion de l’atelier patients-soignants qui est organisé ce mardi 11 février par la Clinique Neurovasculaire sur les troubles de l’équilibre après un AVC, Sara Ben Chekroun, kinésithérapeute, revient sur les points d’attention à surveiller chez le patient, à l’hôpital et surtout à domicile pour éviter les chutes. Interview Quels sont les troubles d’équilibre que l’on peut rencontrer après un AVC et pourquoi ?Avant d’expliquer ce que sont les troubles de l’équilibre, il me paraît utile de rappeler ce qu’est un AVC. Un Accident Vasculaire Cérébral (AVC) est un caillot qui vient boucher une artère cérébrale (on parle alors d’AVC ischémique). Un AVC peut aussi être lié à la rupture d’une artère cérébrale (on parle alors d’AVC hémorragique). Dans les deux cas, une zone du cerveau est en souffrance car en manque d’oxygène. Plus le temps passe, plus cette zone meurt. Un tel évènement n’est pas sans séquelle pour le corps. Des troubles de l’équilibre peuvent survenir si la partie du cerveau qui est atteinte est directement responsable de l’équilibre, mais aussi si les autres zones du cerveau qui sont touchées provoquent des séquelles (comme par exemple : paralysie, perte de force, d’un côté du corps ou un seul membre, difficulté à sentir sa jambe ou le sol sous le pied, baisse de l’acuité visuelle) dont les conséquences résultent dans des troubles de l’équilibre. Image D’autres troubles qui surviennent après un AVC (troubles cognitifs, moteurs, de la concentration, de l’attention) ainsi que la fatigue, peuvent entraîner des troubles de l’équilibre et constituer de sérieux facteurs de risque de chute. La fatigue est probablement LE symptôme le plus sous-estimé car, elle persiste longtemps après un AVC, elle peut engendrer des états de faiblesse, la baisse de l’attention et de la concentration, notamment chez les patients âgés de plus de 65 ans. On sait qu’une personne qui a fait un AVC après 65 ans présente un risque de chute 3 fois plus élevé qu’une personne de 65 ans qui n’a pas fait d’AVC[1]. Il s’agit vraiment d’un problème majeur pour cette population à risque. De plus, on observe qu’il y a également un lien entre la dépression et le risque de chute : 30 à 50 % des patients qui ont fait un AVC et qui perdent leur autonomie du jour au lendemain, tombent en dépression et ont plus tendance à faire des chutes[2].Les troubles de l’équilibre et les risques de chute qui en découlent peuvent également être induits par des facteurs externes comme une mauvaise médication ou un environnement inadapté. Un patient qui a fait un ou plusieurs AVC peut prendre des médicaments tels que des antidouleurs, des anticoagulants, des antidépresseurs ou des diurétiques. Il faut aider le patient à gérer sa médication, car s’il en prend trop ou pas assez, il va souffrir d’effets secondaires importants comme l’incontinence, l’incapacité à gérer des changements de position, les chutes de tension au moment de se lever ou encore les « yoyos glycémiques », notamment chez les patients diabétiques, qui vont interférer avec les risques de chute (aller aux toilettes, par exemple, peut entraîner des chutes).L’environnement de vie d’un patient qui a fait un AVC doit être repensé pour éviter les chutes : la présence de tapis, d’escaliers sans rampe, d’obstacles dans la maison, une mauvaise lumière ou ne serait-ce que de mauvaises chaussures ou pantoufles peuvent accroître le risque de chute. Parfois, c’est ce qui limite le retour à domicile. Les familles ne comprennent pas toujours pleinement ce qu’est un AVC et ils n’ont pas conscience de la portée des troubles et des déficits occasionnés. Il faut savoir qu’un tiers des patients qui ont fait un AVC gardent un handicap au quotidien[3], même un an après. Le risque de chute est toujours très présent et une fois que le patient a chuté, il commence souvent à développer la peur de tomber. Cette peur se mue en une immobilisation progressive qui, peu à peu l’isole, le fragilise et détruit son autonomie. C’est un cercle vicieux car, moins le patient bouge, plus il prendre de risques de tomber à nouveau lorsqu’il doit bouger. On constate que chez les populations de patients qui ont déjà chuté une fois, 50% chutent une deuxième fois[4], multipliant ainsi les hospitalisations et renforçant à chaque fois l’angoisse du patient et de ses proches.Quels sont les types de chute les plus fréquents chez les patients qui ont fait un ou plusieurs AVC ? Les chutes les plus fréquentes ont lieu au domicile ou lors des transferts, quand le patient doit passer de la station couchée à debout, pour aller à la douche ou aux toilettes par exemple. La salle de bain et les toilettes sont deux environnements qui provoquent énormément de chutes. Heureusement, on recense peu de blessures graves, mais il y a quand même parfois des hospitalisations pour des fractures du col du fémur ou des hématomes cérébraux. Lorsque le patient revient à l’hôpital, l’équipe doit refaire toute une évaluation de l’équilibre, la comparer par rapport à celle de l’hospitalisation précédente et discuter avec le patient et ses proches pour en savoir plus sur le contexte et les causes de la chute. Tout ces éléments influencent le projet de soin du patient.Si le patient se dégrade trop et que la famille ne se sent plus capable de prendre soin de lui à domicile, il est envoyé en maison de repos. Ce sont des situations très compliquées pour les aidants proches qui ont du mal à comprendre pourquoi le patient continue à tomber malgré leurs soins et leur attention. Ils sont généralement très angoissés car, du jour au lendemain, leur quotidien tourne uniquement autour du patient, de ses risques de chute, de la peur de la chute et de revivre une hospitalisation.  Image D’un autre point de vue, les risques de chute sont également difficiles à gérer pour les soignants qui, comme les aidants, ont une responsabilité vis-à-vis du patient. Si un patient tombe durant son séjour à l’hôpital, il est primordial de savoir pourquoi et comment cela s’est produit, afin de mettre en place des mesures préventives et/ou correctives qui assurent sa sécurité tout en préservant au maximum son autonomie. Il n’est pas toujours évident de trouver le juste milieu.Chaque semaine, une évaluation des risques de chute est réalisée chez les patients plus âgés qui sont en revalidation. Ces tests nous permettent de voir leur évolution et d’identifier ce qui les met le plus à risque de chute. Les résultats de cette évaluation sont communiqués au staff, au médecin et à la famille. Une bonne communication entre toutes les personnes qui interviennent dans le parcours de soin du patient est essentielle, surtout quand les patients rentrent à domicile pour le week-end. Nous voyons avec le patient ce qui est difficile, facile puis nous mettons en place un plan de traitement pour essayer de travailler l’équilibre. Nous veillons à bien informer la famille de ce plan et à répondre à toutes leurs questions et inquiétudes. Après, le risque zéro n’existe pas… En fonction des séquelles de l’AVC, tout va changer. C’est pourquoi nous faisons des réunions avec la famille, le médecin, les paramédicaux et le patient pour faire le point sur la situation et évaluer dans quelle mesure le patient est conscient ou non de sa nouvelle réalité, celle en dehors de l’hôpital. À l’hôpital il y a toujours du monde, le patient est aidé, il bénéficie de tous les équipements nécessaires et adaptés. Le sol est plat ! De retour chez lui le week-end, il est confronté à la « vraie » vie, où tout devient plus vite compliqué (pour se lever, s’habiller, se laver, se déplacer) et où le patient réalise que ce n’est pas si évident que ça et que les risques sont élevés.Quelles sont les prises en charges médicales actuellement disponibles à l’Hôpital Erasme - HUB pour préserver l’équilibre chez les patients qui ont fait un/des AVC ?Notre équipe travaille en étroite synergie avec des neurologues, neuroradiologues diagnostiques et interventionnels, urgentistes, intensivistes, neurochirurgiens, cardiologues, ORL et spécialistes en rééducation (neuropsychologues, psychologues, kinésithérapeutes, ergothérapeutes, infirmier.e.s, diététicien.ne.s. Cette collaboration garantit une intervention rapide, la détermination précise et précoce des causes de l’AVC, l’ajustement sans délai des traitements pour minimiser les risques de récidive et favoriser une rééducation précoce pour réduire l’impact fonctionnel.Les assistantes sociales de l’H.U.B passent voir le patient et la famille pour voir s’il y a un besoin d’aide à domicile pour les  soulager au quotidien. Les psychologues sont là pour accompagner le patient et la famille qui doivent faire le deuil de la « vie d’avant ». Nous mettons également à disposition des aides techniques canne, béquilles, chaises roulantes, scooters adaptés) dont la plupart est remboursée. Qu’est-ce que le patient, et/ou éventuellement l’aidant proche, peut mettre en place à domicile pour prévenir au maximum les chutes ?Ce que nous conseillons aux patients est de faire vérifier la vision et l’audition du patient car elles impactent fortement l’équilibre. Nous veillons également à la bonne gestion de la médication en évitant les effets secondaires et en les changeant si nécessaire. Nous proposons également de faire attention à l’environnement du patient à la maison : enlever les tapis ou mettre des antidérapants, avoir une tribune, être toujours accompagné dans les escaliers, porter des chaussures appropriées, aménager un siège de douche, des barres d’appuis et, si nécessaire, un lit médicalisé. L’important étant que toutes les aides, techniques comme humaines, soient prêtes dès le retour du patient chez lui. Image Si le patient vit seul, il peut soit retourner chez lui, mais avec une aide à domicile maximale avec : une infirmière qui passe matin et soir, tous les jours ; des séjours en centre de jour ; des aides familiales et ménagères. Soit il va vivre en maison de repos s’il ne peut plus vivre seul entre deux visites à domicile.Liens ressources :Le Belgian Stroke Council (BSC) regroupe différents médecins (dont le Dr. Noémie Ligot, Directrice de la Clinique Neurovasculaire de l’H.U.B est la Présidente) pour fournir toutes les informations concernant l’AVC que ce soit pour les patients ou les soignants. Vous trouverez également des liens vers des associations, des associations de patients, des groupes d’entraide, des témoignages ainsi que divers livrets gratuits à télécharger[1] Cahit U.,Demet G., Nevzat U., Serhat O., Gazi O. «charactéristics of failing in patients with stroke”. Neurology Neurosurg Psychiatry 2000[2] ibid[3]Poindessous, J., Basta, M., Gomis, N., Gonzar, A., & Dupaquier, L. (2019). La rééducation précoce post-AVC. 33(206), 16-19.[4]Batchelor F., Mackintosh S., Said C., Hill K., “Falls after stroke”, International Journal of Stroke, 2012 Contact et information Sara Ben ChekrounKinésithérapeute au Service de Neurologie de l’H.U.BSara [dot] benchekroun [at] hubruxelles [dot] be (Sara[dot]benchekroun[at]hubruxelles[dot]be)   Image Prochains ateliers "Mieux vivre après un AVC" 18/03/2025 - Comment gérer les facteurs de risque cardiovasculaire grâce à l’alimentation ?15/04/2025 - Langage et parole après un AVC20/05/2025 - Mes facteurs de risque cardiovasculaire sont-ils suffisamment bien contrôlés (obésité, diabète, SAS,…) ? 17/06/2025 - Puis-je conduire après un AVC ? Evaluez votre aptitude à la conduite avec le CARA. Je m'inscris
Services
Anatomie pathologique
Notre rôle L’Anatomie pathologique est une spécialité médicale dont le rôle consiste à poser ou confirmer un diagnostic sur base d’analyses des tissus et/ou des cellules prélevées chez le patient. Ce diagnostic a un rôle majeur dans l’évaluation du pronostic clinique et dans le choix thérapeutique. L’examen anatomo-pathologique comprend l’évaluation de facteurs pronostiques et la mise en évidence de mutations génétiques  des cellules tumorales. Ceci permettant de prédire l’efficacité des thérapies. L’intégration complète de l’activité anatomo-pathologique dans le trajet de soins du patient est primordiale depuis l’introduction des thérapies ciblées. Il faut souligner que le remboursement de ces thérapies est lié à ces analyses anatomo-pathologiques. Le Centre d’Anatomie pathologique est chargé de l’analyse des tumeurs provenant de l’Institut Jules Bordet, de l’hôpital Erasme, de l’HUDERF, du CHU St-Pierre et des sites d’Ixelles et Molière des hôpitaux IRIS SUD. Il est un centre de référence dans différents domaines dont le diagnostic des cancers du sein, gynécologiques, digestifs, uro-génitaux, pulmonaires, des tissus mous, de la tête et du cou et des lymphomes. Image Image Image Image Le centre assure l’analyse :des pièces opératoires prélevées lors des interventions chirurgicales,des biopsies,des prélèvements cytologiques (frottis…),des prélèvements hématologiques pour examens spécifiques de cytogénétique (caryotypes classiques pour le diagnostic et le suivi des leucémies et techniques de génétique moléculaire afin de fournir des facteurs pronostiques).Le service fonctionne dans le respect de la norme ISO 15189. Nos spécialités Le Centre d’Anatomie Pathologique est composé de plusieurs secteurs d’expertises particulières qui contribuent à mieux caractériser les tissus et produits sanguins :•    Histologie•    Cytologie•    Examens extemporanés•    Immunohistochimie•    Pathologie moléculaire•    Autopsies•    Cytogénétique•    Tumorothèque Notre équipe Image Professionnels de santé Publications First findings from SYNERGY, a phase I/II trial testing the addition of the anti-CD73 oleclumab to the anti-PD-L1 durvalumab and chemotherapy as 1st line therapy for patients with metastatic triple-negative breast cancer D. Eiger, C. Maurer, M. Brandão, P. Aftimos, K. Punie, D.Taylor, T. Van den Mooter, R.Poncin, JL. Canon, F. Duhoux, V. Casert, F. Clatot, C.Velghe, L. Craciun, M. Paesmans, E. de Azambuja, M. Ignatiadis, D. Larsimont, M. Piccart-Gebhart, L. Buisseret  Implementation of automatic quantification of Ki-67 in well- differentiated gastro-entero-pancreatic neuroendocrine tumors: towards standardized evaluation into daily practice. F. Lifrange, N. Gumus, L. Craciun, M. Gomez Galdon, P. Demetter, L. Verset. BREAST 2020 DEC; 54:179-186 Digital analysis of distant and cancer-associated mammary adipocytes. E. Isnaldi, F. Richard, M. De Schepper, D. Vincent, S. Leduc, M. Maetens, T. Geukens, G. Floris, G. Rouas, F. Cardoso, C. Sotiriou, G. Zoppoli, D. Larsimont, E. Biganzoli, C. Desmedt. J CLIN ENDOCRINOL METAB 2018 Distinctive Desmoplastic 3D Morphology Associated With BRAFV600E in Papillary Thyroid Cancers. M. Tarabichi, A. Antoniou, S. Le Pennec, D. Gacquer, N. de Saint Aubain, L. Craciun, T. Cielen, I. Laios, D. Larsimont, G. Andry, JE. Dumont, C. Maenhaut, V. Detours. SAN ANTONIO BREAST CANCER SYMPOSIUM 2021 Documentation qualité Manuel de qualité Manuel des échantillons primaires TAT théoriques de réalisation d'un examen anatomopathologique Marche à suivre pour les prélèvements du quartier opératoire destinés à l'anato… Gestion des prélèvements non conformes Nature et traitement des prélèvements non conformes Demande d'analyse pour un examen de cytologie urinaire Demande de réalisation d'un examen post-mortem d'un adulte Demande de réalisation d'un examen post-mortem foetal Demande de réalisation d'analyse de biologie moléculaire et immunohistochimie Demande de Recherche de mutation du gène EGFR sur ADN tumoral circulant Demande d’analyse Histologique et Cytologique Formulaires Non conformité Enquête de satisfaction
Anatomie Pathologique - Erasme
Problématique de santé
Anémie
Qu'est-ce que l'anémie? L’anémie est une maladie qui se caractérise par un manque de globules rouges et d’hémoglobine dans le sang. Fréquente, mais rarement grave, elle est toutefois invalidante.  En effet, l’anémie entraine une fatigue résistante au sommeil, une pâleur et de l’essoufflement à l’effort, susceptible d’aggraver un problème existant (ex. : insuffisance cardiaque, bronchite chronique, etc.). Les symptômes peuvent apparaitre soudainement ou progressivement et altérer la qualité de vie des personnes atteintes. Les causes d’anémie sont multiples : une carence en fer (très fréquente) et/ou en certaines vitamines, une maladie auto-immune sous-jacente, des maladies héréditaires ou oncologiques, etc. Il est donc essentiel d’identifier précisément l’origine d’une anémie afin de pouvoir la traiter efficacement.  Prise en charge Consultation et examens complémentairesSi votre médecin (généraliste ou spécialiste) constate dans votre prise de sang que vous présentez une anémie qui nécessite un bilan, vous pouvez prendre un rendez-vous vous-même, en ligne ou par téléphone. Si votre médecin estime que ce rendez-vous est urgent, il ou elle peut contacter l’hématologue de garde afin que vous entriez dans la « fast-track » anémie. Ce trajet de soins prévoit une consultation avec un médecin hématologue dans les 72 heures pour une mise au point par prise de sang. Si nécessaire, un traitement intraveineux immédiat peut être instauré à l’Hôpital de jour d’Erasme. Si votre prise de sang n’a pas permis d’identifier la cause de votre anémie, des examens complémentaires seront réalisés. Par exemple, une ponction-biopsie de moelle osseuse (à ne pas confondre avec la moelle épinière) peut être nécessaire. En effet, c’est dans la moelle osseuse que sont fabriqués les globules rouges. Si elle n’en produit pas assez, la biopsie permet souvent de comprendre pourquoi.Traitements et suiviLe traitement de l’anémie dépend de sa cause et peut comporter :une supplémentation en fer et/ou en vitamines par voie orale ou intraveineuse pour les anémies causées par une carence ;des injections d’EPO pour stimuler la fabrication de globules rouges par la moelle osseuse ;des transfusions sanguines, etc.Après avoir initié le traitement, l’hématologue en informera votre médecin pour établir un plan de traitement commun. Focus Le service d’hématologie de l’H.U.B est reconnu pour son expertise dans plusieurs domaines et pathologies potentiellement en lien avec l’anémie. Le Service est notamment centre de référence européen pour les causes rares d’anémie et d’autres maladies des globules rouge et du fer. Cette expertise permet notamment de proposer une mise au point et certains traitements de pointe, exclusivement administrés dans un centre de référence.   Image Recherche Le service d’hématologie  de l’H.U.B dispose d’une cellule de recherche clinique. Ceci permet à certains patients et patientes de bénéficier de traitement innovants dans le cadre d’essais cliniques. Nos spécialistes Services associés
Anémie
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Anesthésie générale
Image Bien se préparer à l’intervention Image La veille de l’intervention Image Le jour de l’intervention
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Anesthésie locale/traitement de la douleur
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Anesthésiologie
Notre rôle L’anesthésiologie est une discipline médicale transversale qui a pour objectif de garantir à toutes les patientes et tous les patients qui bénéficieront d’un acte diagnostique ou thérapeutique (endoscopique, interventionnel, chirurgical), une prise en charge qui répond aux critères de qualité et de sécurité nationaux et internationaux. Image Image Nous disposons d’un arsenal de techniques et de médicaments qui nous permettent d’assurer leur confort en s’adaptant précisément à ce qui convient idéalement à chaque individu, selon ses caractéristiques personnelles et ses désidératas. Pr Tuna Turgay Directeur de service interhospitalier d’anesthésiologie, de réanimation, de médecine périopératoire et d’algologie de l’H.U.B Nos spécialités Le service interhospitalier d’anesthésiologie-réanimation, de médecine périopératoire et d’algologie de l’H.U.B est organisé en plusieurs cliniques et secteurs :La cellule Préadmission accueille les consultations préopératoires dont bénéficient systématiquement les patientes et patients pour lesquels une intervention est programmée.Les unités de soins postopératoires ou « salles de réveil » accueillent les patientes et patients jusqu’à 48 heures après leur intervention.Le Centre multidisciplinaire d’évaluation et de traitement de la douleur de l’Hôpital Erasme est l’une des premières cliniques en Belgique de la douleur chronique reconnues comme tel par le SPF Santé publique. Avec près de 120 médecins, l’anesthésiologie est le plus grand service médical de l’H.U.B. Les anesthésistes sont répartis dans toutes les institutions de l’H.U.B sur base des secteurs médicotechniques et/ou chirurgicaux :La clinique d’anesthésie pédiatrique, à l’HUDERF,La clinique d’oncoanesthésie, à l’Institut Jules Bordet,La clinique d’anesthésie pour les chirurgies cardiaque, thoracique et vasculaire,La clinique d’anesthésie pour les chirurgies digestive, urologique, gynécologique et pour l’obstétrique,La clinique de neuroanesthésie et d’orthopédie-traumatologie,La clinique d’endoscopie et des actes interventionnels,La clinique d’anesthésie ambulatoire et d’algologie, au Centre chirurgical de jour. Notre équipe Image Nos spécialistes Focus L’Early Recovery After Surgery (ERAS) est un protocole de réhabilitation spécifique et multidisciplinaire, appliqué dans plusieurs types d’interventions chirurgicales, avec pour objectif une prise en charge périopératoire optimisée (entre autres: douleur, nutrition, revalidation). Enseignement Le service interhospitalier d’anesthésiologie, de réanimation, de médecine périopératoire et d’algologie de l’HUB est réputé pour l’excellence de ses formations. Outre les certificats obligatoires propres à la spécialité, les médecins anesthésistes assistent, participent et dispensent très régulièrement à des séminaires propres à l’H.U.B, ainsi qu’à des formations nationales et internationales.
Anesthésie-Réanimation, Médecine Péri-Opératoire Et Algologie - Erasme
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